Petite visite... Pas seule apparemment [Pete]

Je sentais à ses gémissements,à les battements de son coeur et à son souffle chaud qu'elle répandait qu'elle aussi éprouvait du plaisir. Jamais je n'ai ressenti ca avec autant de passion et sincérité. Je continuais et ne voulais m'arrêter car je me sentais tellement bien ainsi. Je désirais son corps mais ce n'était pas seulement ca, je ressentais autre chose que le seul désir charnel.

Cléa ne pouvait plus retenir ses cris, ses gémissements, même si elle l'avait voulu. Elle s'abandonnait complètement au plaisir qu'était en train de lui donner Pete, un plaisir qu'elle n'avait jamais connu jusque là, une découverte d'un nouveau plaisir. Elle ferma alors les yeux quelques secondes, la chaleur la traversant de part en part, son corps tremblant de plaisir, Cléa atteignant l'orgasme dans un cri de plaisir plus fort que les précédents

Mon plaisir augmentait en l'entender pousser des cris. Sa facon de gémir lui est propre à elle et lui donne un charme fou qui me pousse à cotinuer encore et encore. Je souffle et continue à l'embrasser langoureusement.

Cléa prolongea son baiser avec une fièvre débordante, laissant passer des cris de plaisir contre ses lèvres. C'était bien la première ois qu'un homme lui faisait l'amour en ne cherchant pas que son propre plaisir, mais aussi celui de Cléa. Sans doute était-ce pour cela que c'était aussi fort et intense...

Nos deux corps continuèrent à fusionner ensembles pendant un long moment, le plaisir grandissant et la passion atteignant son plus haut seuil. Je conaissais à présent les moindres recoins du corps de Cléa et j'étais entré en elle comme dans son intimité faisant de ce moment un instant unique et exceptionnel. Essouflé, je me posa à côté d'elle tout en la serrant dans mes bras.

Cléa était essoufflée par ce plaisir, et n'avait plus aucune force en elle. Elle avait tout donné à Pete dans cette union charnelle, elle s'était complètement laissée aller, elle s'était laissée aller au plaisir grandissant qu'il lui avait donné pendant tout ce temps où leurs deux corps n'en formaient plus qu'un. Une étreinte charnelle ayant un goût différent cette fois... Quand il vint se poser à côté d'elle, mais toujours en la gardant dans ses bras, Cléa eut un léger sourire et tenta de reprendre son souffle, n'osant aucun signe de douceur ou de tendresse envers Pete, sans savoir ce que lui voulait, n'ayant pas l'habitude qu'on se montre tendre avec elle après l'amour...

Je lui caressais ses douces épaules et reprenais mon souffle. Je n'avais pas besoin et ne ressentais pas l'utilité de parler après cet instant magique, je voulaiis juste rester avec elle, la serrant dans mes bras et ne penser a rien d'autre qu'a elle et son délicieux parfum qui m'envoutait

Cléa se sentait complètement différente en cet instant, comme si quelque chose s'était passé en elle. Elle ne savait pas tellement quoi faire, ni comment réagir. Elle ne savait pas si elle devait se lever et partir, ou si elle pouvait rester dans ses bras. Elle ne voulait pas partir, elle se sentait bien dans ses bras, comme protégée... Elle ferma alors les yeux, sa tête posée contre le torse de Pete

Je la serra contre moi et caressa ses cheveux quand elle posa sa tête contre mon torse. Je commenca ensuite à lui masser la nuque.

En sentant la main de Pete lui caresser doucement la nuque, Cléa se risqua à passer un bras autour de sa taille, les yeux toujours fermés. Elle pouvait entendre les battements du coeur du jeune homme, et se laissait doucement bercer par sa respiration

Je la voyais se soulever et se rabaisser suivant mon inspiration. Je la caressais toujours . Je pourrais rester des heures comme ca. Le silence n'était pas pesant mais léger et agréable.

[j'y vais. a demain!]

[A demain ^^]

Cléa se sentait tellement bien dans ses bras qu'elle ne voulait pas bouger. Elle voyait que Pete ne la repoussait pas, alors elle restait contre lui, profitant de la chaleur de son corps, de la douceur de ses caresses, simplement du fait qu'il lui donne toute cette tendresse

J'étais toujours bien à la serrer dans mes bras mais à un moment, j'entendis un bruit de pas venant de l'escalier. Je me leva en emportant Cléa avec moi après avoir rassembler les vêtements. Je vis une porte et me dépécha d'y aller. C'était un tout petit placard mais ca ferait l'affaire pour se cacher 2 minutes. Je remis mon boxer et enveloppa Cléa dans mon pull. Puis je me tus un instant.

Cléa avait également entendu un bruit et s'était légèrement redressée, se demandant si la personne qui venait vers la chaufferie allait y entrer, ou tout simplement si elle les avait entendus. Mais la réaction de Peter fut plus rapide que celle de la jeune femme, et elle se laissa entrainer dans le placard, enveloppée dans le pull de Peter... Coincés tous les deux dans le placard, elle savait qu'ils n'avaient aucun droit à l'erreur, aucun bruit au risque de se faire prendre. Elle ferma alors les yeux et eut un léger sourire en sentant le parfum de Peter sur son pull, parfum agréable dont elle se souviendrait souvent de l'odeur...

Je souriais à Cléa en pensant au ridicule de la situation! J'avais envie d'éclater de rire quand j'entendis les pas s'approcher puis faire demi-tour. Une porte claqua et il n'y eut plus aucun bruit, la personne était partie. Je ria légérement puis je sourias à Cléa et ne pus me retenir de lui caresser les gens et lui déposer un tendre baiser sur ses douces lèvres...

Cléa fut soulagée quand elle entendit la porte claquer et la personne partir. Elle était contente qu'ils ne se soient pas faits prendre, sinon ils auraient risqué gros quand même. Elle sourit quand Pete déposa un baiser sur ses lèvres, puis elle lui rendit ce baiser, avant d'ouvrir la porte du placard pour pouvoir en sortir

Je sortis du placard et regarda Cléa
Tu veux faire quoi maintenant?

Cléa haussa légèrement les épaules

Je sais pas trop... et toi ?

Je souria et dis:
J'en sais trop rien a part que je veux être avec la plus belle fille de ce centre...

Dans ce cas, tu devrais vite aller la retrouver....

Cléa lui sourit doucement et récupéra leurs vêtements dans le placard

Pardon, je me suis trompé, c'est pas la plus belle fille du centre, c'est la plus belle fille que je conaisse... et elle est en face de moi...
Je souria

Cléa lui sourit doucement et lui tendit ensuite ses vêtements

tu sais que tu vas finir par me faire rougir ?

Elle ôta ensuite le pull de Pete pour le lui rendre et commença à se rhabiller

Je pris mes vêtements et me rhabilla.
Je dis que la vérité! Tu peux pas m'en vouloir quand même!

Non, je ne t'en veux pas pour ça

Cléa lui sourit et termina alors de se rhabiller

J'étais habillé et je m'approcha vers Cléa en souriant toujours et en la regardant droit dans les yeux.
Allez choisis ce que tu veux qu'on fasse, je fais tout ce que tu veux!

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