Qu\'est-ce que je viens foutre ici moi ? [Guen]

Guenahel la regarda, alors qu'il était entièrement dans ce baiser qui ravissait plus d'une femme bien aprés que tout soit fini alors que l'a elle l'arrêtait au début de sa marque de territoire dont elle n'avait pas laisser le temps qu'il l'y laisse. La regardant tout en frôlant ces lèvres aux siennes d'un douceur et sauvagerie exaltante.

" Laisse toi envahir par la douceur.. oublie la sauvagerie et laisse moi faire.. je saurais te convaincre.. "

Même si a présent il s'était donné un coup en lui pour ne pas l'obtenir, obtenir tout d'elle, a chaque moment, il voulait la marquer comme étant à lui mais il ne le pouvait pas, il ne pouvait pas. Leurs lèvres encore une fois s'échangèrent un baiser des plus langoureux tandis que son sexe commençait a faire sentir sa présence contre celui de Cléa tandis qu'il s'y frotta une seule fois d'une légéreté avant de glissa son autre main sous son haut de maillot et de caresser avec douceur un de ces seins.

Cléa avait nevie qu'il lui montre ce qu'il savait faire. Elle savait qu'il n'attendait que ça, lui prouver qu'il pouvait lui donner du plaisir. Mais encore fallait-il qu'il soit à la hauteur pour pouvoir le faire. Cléa n'était pas une jeune femme comme les autres, elle aimait faire valoir sa présence, se rendre inoubliable... Et elle ne réagissait donc pa comme n'importe quelle femme...

Il t'en faudra beaucoup pour me convaincre mon beau...

Elle eut un petit sourire amusé et prolongea son baiser unen ouvelle fois, dans un baiser langoureux et empreint de désir. Elle sentait qu'il la désirait à la bosse qu'elle pouvait sentir contre elle. Des signes qui ne trompaient pas, et surtout pas elle. Elle glissa une de ses mains sur ses fesses quand la main du jeune homme s'aventura sous le haut de son maillot, et elle le rapprocha encore plus d'elle pour que leurs deux corps soient collés l'un à l'autre

Lui qui aurait aimé que la belle se laisse doucement avhir par sa douceur, qu'elle se laisse totalement faire sous le plaisir qu'elle aurait senti sans cette sauvagerie, il n'était pas ainsi naturellement, c'est la vie qui lui avait montrait que si ne l'on était point sauvage on mourrirrait et vu qu'il n'y tenait pas trop il avait changé a cause de ses parents et de lui-même.

" Si tu veux ce que tu veux.. tu devras te laisser faire ma belle.. écoute simplement ce que je te dis.. "

Il ne dit pas le " éxécute le " qui s'ensuivait généralement, espérant qu'elle l'ait compris, lui détachant, de ses mains douces qui caressait sa peau brulante de désir, le noeud qui retenait la partie haute de son deux piéces. Le laissant tomber tandis qu'il posa doucement ses lèvres sur ces seins volupteux.

Cléa n'avait pas l'habitude de se laisser envahir par la douceur, elle était habituée à la fougue et à la sauvagerie, et elle aimait ça. Elle préférait d'ailleurs que les hommes se comportent de cette manière avec elle, ça lui évitait de s'attacher ainsi... Elle le regarda avec un petit sourire avant de lui répondre

C'est à toi de me convaincre que tu as raison mon chou...

Elle n'était pas du genre à se laisser faire, mais elle voulait voir de quoi Guen était capable... Elle se laissa donc faire quand il lui enleva le haut de son maillot de bain, et le laissa lui embrasser la poitrine

Il ne répondit pas et continuait de susurrer le bout de ces seins avec le bout de sa langue mais toujours avec douceur, il caressait doucement son bas-ventre sans continuait, juste a la limite de ce qui la ferait jouir, provoquant chez elle de l'exitation, de l'impatience et donc un désir innévitable en elle. Toujours de cette douceur bien sûr. Tandis qu'il éveilla en elle une nouvelle douceur qu'il espérait bien éveiller en elle, caressant les cuisses de la jeune femme de sa main tout en frolant sa partie intime sans jamais vraiment la toucher, juste éveiller le désir, un énorme désir, qui chez lui-même naquit par la suite tandis qu'il reprenant ces lèvres en bouche d'un baiser violent mais doux par la suite.

Apparemment, Guen s'y prenait assez bien pour faire monter le désir chez elle. Elle ferma les yeux, se posant la tête contre la paroi de la cabine, se laissant aller au désir naissant qui montait en elle. Elle n'était pas insensible aux caresses et aux baisers de Guen. Elle releva lég!rement la jambe qu'il caressait pour la passer autour d sa taille, le serrant ainsi davantage contre elle, sentant le désir de Guen monter également. Elle glissa une de ses mains dans le bas de son dos, jouant avec l'élastique de son short de bain

Oui il s'y prenait bien et sans sauvagerie elle qui aimait tant cela débordait de désir à présent, tandis qu'il sentait la jambe de celle-ci s'accrochait a lui pour montrer qu'elle en voulait plus, alors que lui en voulait plus aussi, leurs pensées s'cacordaient tandis que leurs mouvements par la suite le devinrent et qu'ainsi ils ne forment qu'un sans le savoir. De ses mains, qu'il glissa glisser le long du dos de Cléa pour qu'elle passe sous son bas de maillot, sur ces fesses qu'il aggripa d'une certaine sauvagerie, effacé par la suite d'une douceur connue maintenant de la demoiselle. Tandis que leurs langues s'échangeait des slaves mouvements.

Cléa étai assez surprise par ce mélange de douceur et de sauvagerie dont faisait preuve le jeune homme, mais ça n'était pas désagréable, bien au contraire. Elle se laissa coller contre la paroi, se laissant soulever par les bras puissants de Guen. Quand elle sentit lles mains de Guen glisser dans lee bas de son maillot , elle eut un petit sourire et fit alors glisser le short de bain du jeune homme, le laissant complètement nu, lui mordillant doucement la langue avant de reprendre un baiser fougueux

Lui n'était pas surpris, c'était ce qu'il attendait qu'il se produise, il le savait, bien sûr il en avait eu bien des expérinces pour tenter cela et chacunes des " cobayes " en étaient ravies et en redemandait, elle ferait sans doute pareil.. ? Il l'espérait et espérait que cet espoir ne soit vain. La regardant dans les yeux pour la premiére fois depuis qu'ils s'étaient retrouvés là, la laissant abattre son maillot et se retrouva nu, sexe à l'air tandis que lui faisait de même avec son beas de maillot noir qui glissa tandis que sans attendre il frotta son sexe au sien, sans la pénétrer pour autant, voulant la faire attendre, elle qui voulait être joueuse trouvé plus joueur qu'elle.

Il n'avait pas fallu longtemps à Cléa pou comprendre le petite manège de Guen; un petit jeu qu'elle avait joué tellement de fois. Il voulait la faire craquer, il voulait la faire attendre jusqu'à ce qu'elle le supplie de lui faire l'amour. Mais elle n'était pas comme ça. En sentant son sexe se frotter contre le sien, elle sentit qu'il la désirait également et qu'il ne pourrait plus attendre bien longtemps. Il voulait jouer ? Il allait jouer, et pas qu'un peu... Cléa descendit une de ses mains au niveau de l'intimité du jeune homme et commença à le caresser sur le bout des doigts, histoire de faire monter encore plus la chaleur

Jouer ? C'était seuleument ce que faisait en ce moment là les deux jeunes gens qui n'allaient tarder a faire l'amour d'une douceur exeptionnelle et de combats rudes, oui c'était comme dirait-on un duel qui s'était immisé entre les deux, a savoir, celui qui craquerait le plus vite, et comme parti commenait se faisait Guenahel n'allait pas tarder a perdre mais retenant ce désir brulant et sauvage qui voulait être en elle, lui être unie pour ne sait quelle raison, avec elle c'était différent de toutes les autres, en quoi ? Il ne le savait pas, il le saurait par la suite, s'il y avait une suite. Elle caressait son sexe habilement tandis qu'il fit de même tout en lui caressant le clito' d'un doigt doucement, ce qui accentua de beaucoup le désir qu'elle avait.

S'il pensait pouvoir contenir le plaisir qui montait en lui, Cléa savait très bien que ça n'était pas le cas. Ph non, elle ne craquerait pas avant lui, il craquerait le premier. Elle le savait très bien, elle ne craquait pas aussi facilement que ça, elle savait très bien se retenir, même si son corps ne mentait pas. Mais elle savait encore se maîtriser. Elle eut un petit sourire en sentant la main de Guen venir caresser son itnimité, et elle accentua alors un peu plus ses caresses pour qu'il la veuille encore plus

Si elle ne craquait pas il se voyait mal rivaliser avec sa tenacité et au moment ou il pensa cela il se mordit la lèvre pour oublier ce plaisir laissant place a cet soudaine douleur vive et pas encore sanglante mais pour une fois il ne baissait pas les bras, caressant le clitoris de la jeune fille avec plus d'insistance qu'auparavant tout en caressant de l'autre main sa poitrine d'ou les bouts pointés et qu'il caressa avec instance.

Cléa ne pouvait pas nier qu'elle appréciait les caresses de Guen, mais il en fallait bien plus que ça pour la faire craquer. Elle ne craquerait pas si facilement, contrairement à ce qu'avait l'air de penser le jeune homme. Lui ne pourrait plus tenir bien longtemps, elle le sentait sous des doigts. Le désir qu'il ressentait était de plus en plus fort, il se raidissait de plus en plus. Ce qui encouragea la jeune femme à rendre ses caresses encore plus intenses

Malgré toute la tenacité dont il faisait preuve cela n'était qu'échec fasse a la jeune femme qui elle semblait jouer avec lui, non, elle jouait avec lui c'était un fait ! La regardant tandis qu'il ne pouvait se retenir de fermer les yeux et de la pénétrer non sans douceur. sentant son sexe en elle et l'union nouvelle qui venait d'être édifiée entre eux. Lachant un soupir de plaisir après cela, elle-meêm a son avis ferait de même aprés toute la tenacité dont ils avaient fait preuve.

S'il avait pensé qu'elle ne jouerait pas et se laisserait faire quand il se mit à jouer avec elle, il s'était trompé. Personne ne pouvait l'égaler à ce petit jeu, et Guen finit par craquer avant elle, ce qui arracha un sourire à la jeune femme. Elle ne put retenir un soupir, elle aussi, quand il entra en elle, mais elle avait un petit sourire aux lèvres, contente de l'avoir fait craquer d'abord. A lui de prouver maintenant qu'il allait être à la hauteur de ce que la jeune femme attendait, à lui de lui prouver que la douceur était bien mieux que la sauvagerie, surtout dans un edroit pareil où tout le monde pouvait les entendre et les surprendre, n'importe quand

Commençant alors une successions de vas et viens en elle, coups de reins forts puissants mais aucunement sauvage, il était en rythme avec elle maintenant et ralentit donc la cadence encore un peu pour qu'elle en veuille vraiment, il voulait voir son désir, il voulait voir qu'elle le voulait aprés ces plusieurs minutes qu'il avait passé en elle, elle devait lui montrait qu'elle le désirait et qu'elle en voulait encore plus.

Si Guen voulait jouer à ce petit jeu là, il allait perdre, et à coup sûr. Ca n'était pas comme ça qu'on agissait avec Cléa, mais il n'avait pas l'air de l'avoir compris. Cléa n'avait de preuves à rendre à personne... C'était aux autres à faire ses preuves. Elle s'était amusée à faire monter le désir chez le jeune homme, c'était à lui à lui montrer qu'il la désirait plus que tout... Ses va et vient en elle lui arrachèrent quelques soupirs de plaisir, et elle le regarda esuite avec un petit sourire, avant de lui dire, amusée

C'est tout ce que tu sais faire ? Je suis déçue là

Guen qui se demandait vraiment comment elle faisait du se résoudre a entrer dans le jeu, sa fierté etait touché et il devait y reméditer, il amorça un léger sourire démentiel avant de lui donner un coup beaucoup plus assuré et fort, attrapant ces mains et les plaquant au mur tout en l'embrassant de plus belle, tandis que ses vas et viens devenait de plus en plus forts et rapides en elle.

Cléa avait touché la corde sensible, elle le savait. Aucun homme ne resterait insensible à une telle remarque, l'orgueil masculin était bien trop fort pour ça. Elle eut un petit sourire amusé en voyant le sourire de Guen, et elle se mordit ensuite la lèvre quand il se fit plus violent, plus sauvage. Elle prolongea alors son baiser avec une certaine fougue, en l'incitant par là à continuer sur cette voie

Son ordgueil était touché certes, il 'avait jamais vu ausssi joueuse qu'elle, c'ets ce qui l'attirait de plus en plus chez elle, ce jeu, elle, il la voulait pour lui. Tout en posant ses mains sur sa taille et donnant des coups violents et forts, qu'elle en veuille toujours plus car lui aussi en voulait, il voulait s'unir à elle, même si c'était loufoque il le voulait, pourquoi ? Il ne le savait pas.

Cléa savait qu'elle l'avait touché dans son orgueil, elle l'avait fait exprès pour le provoquer et pour qu'il se donne entièrement à elle. Quand il libéra ses mains pou les poser sur sa taille, elle posa ses propres mains autour de son cou et se laissa aller au plaisir qui commençait à naître en elle, ses soupirs se changeant progressivement en gémissements

Entendant ces gémissements qui furent suivis par les siens peu après, il aimait cette sauvegrie qui prenait peu a peu prossession de lui, cette fille était totalement esclusive pour lui, différente de toutes les autres, même si elle se vendait pour lui elle l'attirait vraiment. Mordant sa lèvre tout en jouant de sa langue avec la sienne et sentant l'orgasme finale arrivait, mais pour l'instant il n'y était pas.

A force de le pousser à bout comme ça, Cléa avait fini par fire sortir en lui ce côté sauvage qu'il voulait à tout prix cacher. Mais il n'avait plus pu le cacher, t la jeune femme venait de trouver sa faille. Le désir montait un peu plus en elle, mais elle ne se laissait pas aller à ses gémissements, qu'elle étouffait dans le baiser langoureux qu'elle échangeait avec Guen

Guen et Cléa commençaient a être en rythme et bientôt l'orgasme viendrait les rejoindre, et c'est précisément ce qui se passa. Le jeune homme ne quittait pas ces lèvres, la plaquant toujours au mur tandis qu'il se vidait en elle,, se mordant la lèvre pour ne pas montrer qu'il avait adoré cela.

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